La Sultane andalouse

Grenade, XVe siècle.
Fille du désert, Samara danse parmi les dunes chaque matin. Lorsque le calligraphe du sultan la surprend ainsi au lever du jour, fasciné, il décide de la ramener en son palais, au pied de l’Alhambra. Et de l’y garder.

Derrière les hauts murs ajourés, Samara découvre un univers dominé par les trois femmes du calligraphe. Nul ne lui révèle le mystère qui hante cette cage dorée. Son maître moins que quiconque. Il a besoin de sa silhouette effilée, de ce ventre qu’il laissera vide pour jouir de ses projets… aussi sombres que son encre.

Mais la danseuse n’est pas une proie ordinaire. Dans ce roman ensorcelant, Muriel Romana revisite d’une façon originale le mythe de Barbe Bleue, à l’heure orientale des Mille-et-une nuits.

2 réponses

  1. Martinez dit :

    Bonjour je ne comprends pas la fin du roman la sultane andalouse. Pourquoi il ne la tue pas ? Est ce sa soeur ?
    Merci pour vos éclaircissements
    J’adore votre style très poétique
    Cordialement

    • Muriel Romana dit :

      Bonjour à vous !

      Merci beaucoup pour votre message. Je suis ravie que le livre vous ait plu.
      Pour répondre à votre question, je laisse volontairement l’interprétation au lecteur, même si j’ai mon idée ;). Si vous le voulez, je pourrai vous la donner en MP.

      A bientôt,

      Muriel

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